Takenaka Shisui Capitaine des Forces Spéciale de Kiri
Messages : 9 Date d'inscription : 27/08/2012
Fiche Ninja Jutsus: Expérience: (100/700)
| Sujet: Et même la pluie ||100 %|| Mar 28 Aoû - 8:16 | |
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Takenaka Shisui
Age : 30 ans Village d'origine : Kirigakure no sato Famille : Elle serai une cousine de Yagura sa mère est actuellement cheftaine des services d'interventions d'urgence de Kiri (médicnin) son père à été porté disparu pendant le drame du coup d'état elle à également une petite sœur de quatorze ans. Grade : Sannin/ capitaine des forces de l'Anbu || Bras droit du Mizukage Affinité : Suiton | Shoton | Raiton Passions : C'est une femme très occupée et elle n'as pas vraiment le temps d'avoir d'autres occupations que son travail. Mais on peu affirmer qu'elle aime apprendre. Nindô : « Le plus grand des ennemis c'est toi même car c'est de ton propre sein que la faiblesse viendra en premier » Même la pluie<< Si je me souviens du coup d'état des sept épéistes ? Tu parles que j'm'en rappelle, ça à remué comme une lame de fond tout ce que le village pouvais bien cacher. Forcément nous on y croyait pas, ça nous à foutu une baffe ! Au lendemain de la guerre. Ils en avaient de belles ! Ce qu'on as pas compris nous, sur le moment c'est « pourquoi » on à été mobilisés fissa , rassemblés comme des bêtes qui partent à l' abattoir. Nous on était qu'une bande de gamins sortis de l'école. À vingts ans, tu parles si tu comprend ce que c'est que les conflits sociaux politiques ! Bien sur le tsunami ne nous est pas tombé immédiatement dessus, y'avait eût des signes, des vagues un peu plus grosses que d'habitude mais nous on était préoccupés par nos petites affaires d'anbu et on avait pas fait gaffe. La guerre civile nous est tombé sur la gueule comme la grêle au mois de juillet. On est resté cons, sur le cul et complètement désorientés. Pourtant nous, on avait été entraînés pour réagir à ce genre de situation. La seule chose qu'on nous avait pas appris à l'époque c'était comment bien choisir son camps. Par ce qu'il faut bien choisir lequel de tes frères tu vas descendre, sinon ça te reste dans les yeux jusqu'à ce qu'un autre fasse le ,mauvais choix et mettes fins à tes réflexions. Moi je n'ai pas perdu mon temps. J'ai laissé tombé le cousin pour Mei. Ça n'avait pas été trop dur, par ce que Mei et moi c'était une histoire tellement ancienne que je n'ai pas pus imaginer une seconde me retourner contre elle. Faut dire que à l'époque ça faisait déjà plus de quinze ans qu'on se connaissait. J'avais plus de rapports avec qu'elle qu'avec le cousin Yagura.
Je suis née il y un peu plus de trente ans, mais en fait je crois pouvoir affirmer que ce qui intéresse ne commence pas exactement à ce moment. C'est sur que dans les fondation de Kiri, le clan Yagura avait une importance non négligeable mais il y en avait un autre qui jouissait d'une notoriété peu commune. Le clan Tsubaki venait de créer le shoton. Quelques années plus tard, un homme du clan Yagura à épousé une femme de la famille Tsubaki. Les choses auraient pus rester ainsi , mais la fille qu'ils mirent au monde décida de briser la tradition pour épouser un jeune homme sorti de nulles parts. Un médecin venu des terres ancestrales du pays de la neige qui portait le nom de Takenaka. Avec le temps et les métissages, si la famille Takenaka donna toujours assez de fils pour s'étendre sans jamais s'éteindre, elle ne donna plus un seul manipulateur de Shoton. Comme si le gène ne répondait qu'à l'appel d'un être au sang pur. La part du sang Tubaki qui coulait en nous s'était taries comme l'oasis dans le désert. Il dois vraiment exister une loi qui régis l'univers secret des génomes humains par ce que plusieurs dizaines de décennies plus tard, une jeune fille du clan Yagura épousa à nouveau un héritier Takenaka pour donner le jours à un enfant qui , ils ne le savaient pas, finirait très vite par manipuler le cristal.
Cette femme s'appelait Zakuro et c'était ma mère. Je suis venue au monde comme tous les autres enfants. Notre famille n'était pas la plus riche et la plus estimée de toutes, mais nous n'étions loin d'être les plus pauvres. Si nous ne vivions pas dans l'opulence, nous n'avons jamais manqué de quoique se soit. J’étais peu être même une petite fille trop gâtée par des parents qui l'aimaient d'une façon inconditionnelle. Il n'est sans doutes pas intéressant que je m'attarde sur la vie sans histoire d'une petite fille de un an.
J'ai rencontré Mei l'année de mes cinq ans. Elle en avait autant. On se ressemblait. Deux jeunes filles issues de clan célèbres, a qui ont promettait déjà la lune. On avait un avenir brillant et ça se voyait dans le feu qui allumait nos yeux. Déjà on faisait nos début en taijustu ou en ninjutsu. C'était pour rire au début, mais les résultats furent étonnant et tout le monde connaît l'avidité des hommes. Je leur pardonne. Je leur pardonne. Qu'importe la souffrance que nous allions endurer. Je leur pardonne. Par ce que c'est plus facile d'y penser quand on est capable de voir le bien. Mei et moi avons été sur entraînées jusqu'à ce que un beau matin je fasse montre du don qui m'avait été offert, le Shoton coulait dans mes veines aussi sûrement que l'eau descend la rivière et ne la remonte jamais. Alors j'ai été entraînée. J'avais alors sept ans et pour la première fois de sa vie, Yagura s'est intéressée à sa petite cousine qui passait les examens pour devenir Genin. Par ce qu'une petite fille n'est jamais plus intéressante de le jour ou elle fait preuve de génie et de capacités hors du commun. Il à presque été bon avec moi. Vraiment. Devenir ninja aurais pus être quelque chose de merveilleux mais, j'ai vu.
J'ai vu vous dis-je. Vu l'envers de décor. Vécu les massacres de la brume sanglante. Et mes mains d'enfant ensanglantées. Mes mains et mon corps d'enfant souillés par le crime. Est-ce que vous pensez une seule seconde que des enfants méritent pareil sort ? Personne, personne n'avait le droit de nous faire ça. Non personne. Vous savez, j'étais une gentille gamine et je me suis demandé si j'avais fait une bêtise assez grosse pour que les dieux m'en veuillent. J'ai prier tous les jours pour que ça ne s'arrête et jamais , jamais je n'ai été entendue. Les escarmouches assassines se sont poursuivies jours après jours, toujours plus sanguinaire jusqu'à ce que finalement il ne reste que les meilleurs. Tout ce que je sais , c'est que le cousin Yagura était très fiere de moi. Et puis les années on passée. Genin -Chuunin- jonin- anbu...j'ai grimpé les échelons à une vitesses hallucinante. Je n'en suis pas fière. Comment aurai-je pu l'être alors que me pesaient encore sur la conscience les crimes que j'avais pus commettre. Mais ma culpabilité n'est pas le plus gros des problèmes, on peu oublier. On peu oublier qu'on est coupable. Il suffit de se convaincre qu'il n'y avait pas d'autre solution, que c'était question de vie ou de mort. Quand je suis devenue capitaine de l'Anbu j'avais seize ans. C'est la que j'ai compris. Au début on vous apprend à ne pas avoir peur, a tel point qu'un jour vous finissez par être terrifies à l'idée même d'avoir peur. Par ce que lorsque cette peu la vous saisit, elle ne vous lache plus jamais elle vous ronge de l’intérieur comme un vulgaire trognon de pomme et elle vous laisse complètement vide, sans issues ni raison. Combien est-ce que j'en ai vu qui cédaient à cette peur ? Ceux-là sont foutu, plus bon a rien. Ceux la mourraient dans leur folie sans que personne ne puisse leur venir en aide.
Et puis le temps qui coule. Il passe sous les ponts et ne transforme hélas pas toujours la société. C'était sans doutes à moi de le faire. De bouger , de faire en sorte que Yagura ne tombe. J'étais parfaitement en mesure de le faire après tout. J'avais alors vingt ans et je pensais à mes hommes, ceux-la que je n'avais pas le droit de sacrifier qu'importe les circonstances. Par ce qu'ils m'étaient fidèles, avaient en moi entièrement confiance et je ne pouvais pas les trahir. Je n'aurai jamais plus pu me regarder en face. Alors je n'ai pas bougé. Le principe même du sacrifice c'est que la perte permet de sauver des vies en plus grand nombre par la suite. Je n'était absolument pas sur de pouvoir préserver plus de vie que je n'en sacrifierait alors j'ai joué profil bas. Pour le bien et la sécurité de mes hommes et de leur familles. J'ai accepté un maximum de mission pour nous éloigner du village le temps que les choses se calment. Mei était partie depuis un petit moment et je commençait à craindre pour elle, a son retour que ferions nous ?
Une foi de plus je n'ai pas été entendue. Nous étions déjà de retour de mission quand on nous à mobilisés. Pour la première fois de ma vie j'ai perdu mon sang froid. Et pourtant , pourtant nous étions la première division de l'Anbu. L'élite de l'élite. Je me souviens, je vous l'ai dit je me souviens parfaitement encore. Par ce que ça dépassait parfaitement tout ce que j'aurai pus imaginer, je n'avait pas moyen de comparer les fait à des expériences de mission. J'étais secouée. Complètement sur le cul je peu vous le certifier.
F L A S H B A C K Le vent soufflât très fort. Shisui ne fit pas le moindre commentaire sur le fait que l'air était anormalement saturé. Tout le monde était tendu. Quelques minutes auparavant elle avait pus voir le village prendre feu et les rues se salir de sang. Et puis elle avait été amenée dans cet entrepôt en toute urgence. La première division était la mais ils n'étaient pas les seuls mobilisé par les forces du conseil de Kiri. Yagura était la et ses yeux balayaient la salle l'air passablement inquiet et fini par se détendre visiblement lorsqu'il constata que ses plus forts shinobis avaient répondus à l'appel. Et alors tout fut clair. Il leur parla du coup d'état, le nombre d'ennemis, les cibles prioritaires. Takenaka frémis d'horreur. Encore une guerre fratricide. Encore du sang sur ses mains. Combien de mort encore ? Elle n'avait toujours pas prononcé le moindre mot lorsque son équipe franchis la porte de sortie pour se jeter dans ce qui seraient leur nouvel enfer personnel.
Ils avançaient sans sourcilier accomplissant leur besogne , leur fardeau quotidien. C'est à ce moment là que Shisui avait posé les yeux sur les formes de Mei. Elle avait bifurqué dans sa direction, toujours perdue. Pas très sure de ce qu'elle comptait faire. Ils étaient trop jeunes putain, trop jeune pour être sacrifiés pour servir de chair à canon ! Eux, ils n'avaient pas leur place la-dedans. Certainement pas. Mei s'était alors retournée sur son amie d'enfance les yeux plein d'espoir et de détermination. Elle avait juré en silence qu'elle n'avait pas voulut la guerre. Non elle n'avait jamais souhaiter la guerre, elle ne savait pas exactement ce qu'il se produisait, par ce qu'elle avait escompter mener une action discrète pour tuer Yagura. Elle n'avais pas voulut impliquer les autres. Mais déjà les épéistes avaient pris les choses en mains. - C'est par ce que tu es partie pendant trop longtemps Mei. Un homme à fait son apparition dans le village. On à cherché à l'identifier, mais c'est un véritable fantôme, une ombre. Je ne sais pas exactement qui il est , pourtant j'avais mit Yukimura et Kanoe sur le coup, se sont les meilleurs informateurs du pays. Toujours est-il que cet enfoiré est derrière ce coup d'état. elle repris son souffle et tourna les yeux alentours pour s'assurer que rien de dangereux ne se tramait à proximité directe.
La situation lui déplaisait de plus en plus à mesure qu'elle reprenait contenance, le choc de la gifle mentale qu'elle avait reçue s'atténuant peu à peu pour lui laisser accéder à une lucidité violente et perturbante. Tellement qu'elle se demanda un moment si elle n'aurai pas préférer être totalement idiote et incapable de saisir ce qu'il était en trains d'arriver. Elle ne savais pas franchement mais après cette nuit là rien ne serai plus jamais comme avant. Rien, toute sa vie finalement, toute sa vie et ce en quoi elle avait cru était en train de s’effondrer en l'espace de quelques heures. Vingt ans d'existence réduit à néant il faudrait tout reconstruire. Alors elle chercha la force dans toute ce que son être pouvais purger. - Yukimura, Chitose et Obata vous serez la garde de Mei. Kanoe toi tu viens avec moi on vas trouver une ouverture et percuter les lignes adverses. Vous autres vous en profiterez pour pénétrer les bureau centraux ou se réfugie Yagura. Shisui souffla pour calmer la panique qui menaçait de s'emparer de son corps. Les quatre hommes se contentèrent de s'exécuter et d'attendre le signal de départ. - Capitaine nous... - S'il te plais Chitose, obéis. J'ai toujours été à la hauteur n'est-ce pas ? Je te demande juste d’écouter une dernière fois. Je prendrait l'entière responsabilité de tous ce qui vas arriver. C'est promis. - Ce n'est pas ça capitaine. Bonne chance. Nous, on vas se hâter de vous rejoindre Kanoe et vous pour... quelque chose de lourd étreint le cœur de la jeune femme et son bras droit posa une main sur son épaule pour l'encourager. Kanoe connaissait parfaitement les risques. Il ne la laisserai pas tomber et c'était pour cette raison qu'elle l'avait garder à ses côtés. Par ce qu'il n'aurai jamais accepté de la laisser partir seule. Elle remua négativement la tête cependant que Kanoe Tsugumi indiquait au reste de l'équipe qu'il s'agissait là d'un acte sans appel. Ils ne devaient intervenir sous aucun prétexte.
Cependant que la première faction qui encadrait Mei Terumi se préparer à entrer dans le bâtiment, la seconde elle se jetait sans pitié sur la ligne de défense. C'était de la désertion. Du suicide probablement, mais Shisui avait une mission à accomplir. Alors elle irai jusqu'au bout. Elle se souvenait parfaitement de ce jour la parce qu'il ne pleuvait pas et que alors elle s'était laissée aller à penser que même la pluie les abandonnait. La pluie avait une importance particulière pour Shisui. Shisui qui était née un jour de pluie et qui avait toujours pis conter sur la pluie pour épancher son cœur et la laver de sa culpabilité lorsqu'elle n'en pouvais plus. La pluie était son phare dans la nuit. La pluie était sa bouée de sauvetage. La pluie lui permettait de penser en toute sérénité. Ce jour là : on lui avait tout pris. Tout et même la pluie. pourtant ce n'est pas ça qui l’empêchât d'utiliser toute l'eau qu'elle avait à disposition pour arrêter et repousser sauvagement la garde de Yagura. Ses frères. Elle avait pris l'habitude de transporter ou qu'elle aille des vasques remplies d'eau. C'était moins fatigant d'utiliser le suiton a partir d'eau que du néant. Elle était capable de le faire mais elle préférait de manière générale garder sa force et son chakra. Cette technique avait fait ses preuves.
Peu de temps après Tsugumi et son capitaine avaient regagnés les locaux et terminer le travail entrepris. Enfer arrive à qui tente le diable. Depuis le bureau du Mizukage les deux femmes observèrent les mouvements qui s’opéraient en contrebas dans la ville à feu et à sang. Les épéistes avaient fuis et maintenant on repoussait les troupe de Mei. Cette guerre civile, ce soulèvement contre le dictateur tournait au pugilat. Ils étaient condamnés à mort. C'est ce que Shisui réalisa alors qu'elle n'écoutait plus un traître mot de ce que lui disais la Terumi. Elle regarda ses hommes gravant leur visage dans sa mémoire. Mourire avec leur souvenir bien vivant. Yukimura Toushizou, vingt-quatre ans. Chitose Takashi dix-huit ans. Obata Kentarô trente et un ans. Kanoe Tsugumi trente quatre ans. La première division de L'Anbu dont elle était cheftaine certes mais elle était surtout l'équipière de ces homes là. Leur vie relevaient de sa responsabilité. Elle ferai ce qu'elle avait toujours fait elle les défendrait jusqu'à en mourir. - les garçons, vous pouvez disposer. Si vous empruntez le sous-sol personne ne vous verra. - Shisui mais qu'est ce que tu racontes ? Vous êtes mon soutient ! Tu ..écoutes tu ne peux pas... Takenaka l'avait coupée. - Non Mei. C'est toi qui vas m'écouter. Eux n'ont rien avoir la dedans. Je t'interdit de mêler mes hommes à cette sinistre histoire. Ils ont une famille à retrouver alors ils vont y aller par ce que c'est un ordre strict de la part du capitaine de l'Anbu et moi je vais rester ici en temps qu'amie. Ton soutient c'est moi. Je n'ai rien d'autre à offrir. Je me battrait jusqu'à la mort je peu te le promettre.
Mei avait attrapé sa main cependant que les quatre hommes quittaient les lieux dans un silence déchirant. Les deux femmes demeurèrent en place. Elle attendaient simplement que l'occasion se présente.
F I N F L A S H B A C K La suite vous la connaissez déjà. Mei est devenue Mizukage. Pour moi en revanche l'histoire ne s'est pas arrêtée la. Il reste encore dix ans de destins a retracer pour arriver à l'age que j'ai actuellement. C'est dingue n'est ce pas ? Cette capacité qu'on à tout retenir. Je me souviens de chaque jour que j'ai vécu comme si le temps n'avait pas la moindre emprise sur ma mémoire. Il en as en revanche sur mon corps. Ma peau est un livre qui m’empêche d'oublier si désir m'en prend tout ce que j'ai pus traverser. Ma peau parcourue de cicatrices. C'est étrange n'est-ce pas ? Qu'on ai, nous ninjas, la capacité psychologique d'encaisser toutes ses horreurs sans devenir fou. Parfois j'ai crus que je le deviendrai pourtant. Je me suis demandé combien de temps il me faudrait pour que je puisse enfin fermer les yeux sans voir tout ces morts. Un jours c'est arrivé. Je ne sais plus quand est-ce que j'ai retrouvé le sommeil mais j'en ai tiré une leçon : on se remet de tout. Même du pire. Surtout du pire.
J'ai repris les mission et Kiri a perdu sa réputation de village de la brume sanglante. Les choses étaient tellement différentes. Tellement. Un moment j'ai même regretté Yagura. Vous n'imaginez pas ce que c'est de perdre vos repères. J'ai passé ma vie dans la peur et le désir de me surpasser, de survivre. Du jour au lendemain tout à changé. Je n'avais plus à me préoccuper de toutes ses conneries. Juste à me concentrer sur la sécurité du village. À cette époque, Urara ma petite sœur avait six ans et elle était en bonne voie. Maman disait qu'il ne naissait qu'un seul génie par génération. Urara ne serai probablement jamais comme moi, d'autant que les circonstances qui la verraient évoluer serai bien différentes et ne la pousserai pas au maximum de ses capacités. Elle n'aurai pas besoins de survivre. Elle serai une enfant comme les autres. Papa avait disparu pendant le coup d'état. Personne ne sus jamais ce qu'il était advenu en tout cas on avait pas non plus retrouvé son corps. Par égard pour ma mère grande guérisseuse, médecin de grande qualité on ne le déclarât pas déserteur et Mei me promis qu'on réglerai cette affaire le mieux possible pour ne pas causer de tord à ma famille. On as à ce jours toujours pas retrouver papa.
Quatre ans plus tard au vues de mes performances on m'as nommée Sannin. Déjà bras droit du Kage depuis le coup d'état. Je n'ai plus grand chose à prouver. Et je ne suis pas fière de tout ce que j'ai fait. Mais ma vie est monotone. Mission, compte rendus, élaboration de stratégie, seconder la Mizukage, dormir. Mission...tout tourne en boucle depuis tellement d'années. Ma vie sociale n'as rien de particulier mais elle n'est pas à pleindre. J'ai Urara désormais quatorze ans , j'ai Mei j'ai mon équipe et j'ai le village. J'ai ce que je suis et j'ai la pluie. Ce que je suis Bleu. Si on vous demandait de décrire d'apparence la jeune femme, vous répondrez « bleu » sans hésitation. Puis vous marquerez une pause à la recherche de ce qui vous a choqué à ce point dans son être pour que vous ne trouviez que ce mot à répondre. Vous reviendrez sur vos pas, vous arpenterez votre mémoire probablement en vain. Vous creuserez en profondeur pourtant. Et tout, tout vous reviendra petit à petit. Tout, sauf le bleu. Le bleu lui vous le chercherez en vain tellement qu'il vous hantera.
La première chose qui vous reviendra se sera sa peau. Sa peau basanée. D'un chocolat fondant, absolument fascinant. Cette peau foncée parcourue de cicatrices plus ou moins importantes mais qu'importe. Vous regarderez son corps avec attention. De taille moyenne, la taille étranglée, les muscles affinés, une poitrine à peine raisonnable, le visage fin...et vous serez frappé d'un choc inexplicable : elle est belle. Vraiment belle. Sans contexte. Elle n'est pas un canon , une bombe sexuelle comme la Mizukage ou la Hokage. Elle n'est pas jolie et provocante, aguicheuse comme Lilith la serveuse du bar, non ! Mais elle est vraiment belle. Il ne s'agit pas de charme ou d'autre chose mais de beauté. Non seulement physique mais dans ce qu'elle dégage comme force et douceur. Vous vous arracherez les cheveux vous regarderez à nouveau vous demandant comment une femme de corps aussi banalement formé et d'apparence aussi atypique peut-elle être aussi belle. Belle au point d'émouvoir.
Atypique oui, c'est le deuxième mot qui vous viendra à l'esprit alors même que vous ne songiez pas aux marques blanches qu'elle à sous les yeux. On vous dira qu'elles symbolises toutes les larmes qu'elle ne peu pas se permettre de verser. Des larmes éternelles pour cette femme au sourire ravissant. Vous penserez à ses cheveux longs d'un violets très pâle d'un coté, blanc et rasés très courts de l'autre. Un Anbu vous racontera alors ce qu'il s'est produit et comment pendant le coup d'état , alors qu'elle portait secourt à Mei Terumi, elle à été saisie par l'un des épéistes. Kuchimaru, possesseur de Nuibari et comment il l'avait saisie par les cheveux. Elle avait alors coupé les dits cheveux pour sauver sa vie. Elle avait garder la coiffure intacte depuis. Pour se souvenir, elle disait.
On vous parlera de cette manie qu'elle à de se trimbaler avec un sac a dos contenant deux jarres d'eau. Les légendes urbaines racontent qu'elle contiennent des esprit de l'eau. La vérité est tout autre, elle se sert de cette eau pour utiliser le suiton sans se fatiguer. C'est une femme pragmatique. Vous penserez à ses mains bandées, ses jambes aussi. Alors on vous dira qu'elle entraîne ses hommes elle même au corps à corps. Qu'elle pratique un art chinois ancestral. Qu'elle se bât mieux que quiconque. Qu'on la respecte pour ça.
Vous chercherez encore jusqu'à l'insomnie pour vous souvenir. Bleu. Bleu. Bleu.bleu.
Tout sera clair. Bleu. C'est la couleur de ses yeux. De ses yeux de glace par ce que d'un bleu tellement clair qu'il en est saisissant, violant,orage et pourtant tellement chaud. Remplis de rire et d'espoir bourré de vie. Sortilège puissant. Oui, Bleu. C'est la couleur de son regard qui vous retient prisonnier, la raison de votre mélancolie, la douleur de votre solitude. Par ce que oui, seul vous l'êtes depuis que vous l'avez vue...Je jure de dire la vérité, toute la vérité, seulement la vérité.Shisui vue par sa sœur: Je suis ce que je suis et non pas ce qu’on voudrait que je sois. c’est vrais qu’à l’époque je ne comprenait pas le sens des mots de ma sœur. Shisui à été un véritable mystère pour moi. C’est par ce que je suis trop petite pour avoir vécu ce qu’elle à traversé. Je ne devais pas avoir plus de cinq ans lorsque Yagura est tombé. Moi je n’ai pas été traumatisée par toute une flopée de crimes fratricides. Je sais mon aînée. Je la sais presque sur le bout des doigts depuis le temps que je l’admire et que je l’observe faire. C’est une personne douce et très ouverte sans contextes. Je ne sais pas vraiment dire pourquoi, ni comment l’expliquer mais c’est sans doutes une bonne personne. Elle tend facilement la main a qui en a besoins. Si sa confiance se mérite son aide, elle , est gratuite. Elle donne sans compter ni regarder.
D’humeur souvent égale, il est rare de l’entendre lever la voix. Même lorsqu’elle est en colère cela ne se manifeste pas par des effusions de cris ou de geste. Ce calme est souvent affolant d’ailleurs, mais rien y fait. Il y as cette façon qu’elle à de rire ou de chanter parfois. Son incroyable bonne humeur contagieuse. J’ai du mal à la voir en tueuse sanguinaire, j’imagine avec douleur ce qu’elle à pus faire sous le règne de la brume sanglante. On parle pas de ça à la maison. Les action d’Onee-sama sous Yagura sont Taboues et lorsque que le sujet est effleuré il y as cette immense tristesse qui se peint sur son visage. Elle est tellement expressive. C’est une fille bien élevée pourtant, et elle sais qu’il y as des choses qui ne doivent pas être montrée.
Shisui est une femme forte et indépendante qui à mérité sa place mais qui n’as pas eu l’estime qu’elle aurai dus. Elle à fait des prouesse dignes des plus grands, et elle n’as jamais changer sa voie. Par ce qu’elle est bornée, entêtée…mais elle est une personne à part entière et rien ne l’ébranle dans ses convictions.
Vue par un membre de l’Anbu: J’ai vus de mes yeux une femme laisser place à une autre. Une femme s’ouvrir pour laisser surgir un démon enragé. Je l’ai vu de mes yeux vu. Takenaka Shisui est sans le moindre doutes l’un des meilleurs chef que notre Anbu à pus connaitre. Elle avait cette manière très posée et calme de nous parler, de nous expliquer avec toujours beaucoup de précisions ce que nous allions faire. Elle était un genre de mentor particulièrement doux. Jamais elle ne cédait à la panique et observait avec attention nos fait et geste en mission, elle se servait de nos erreur pour nous entraîner par la suite. On avait un peu l’impression de retourner à l’école mais on ne se plaignait pas, par ce qu’il y avait tellement d’intelligence et d’inquiétude dans ses mots que l’on sentait l’attachement qu’elle avait pour chacun d’entre nous. Quelque chose de puissant. Elle était lourdement enchainée à toute une myriade de sentiment et elle ne les laissait jamais empiéter sur la mission. Mais Le chef était ce genre de femme. Le genre qui laissait parler son cœur si elle avait envie de rire ou de pleurer alors elle le faisait. Elle faisait preuve d’un pacifisme étonnant quand on pensait aux rumeurs qui avaient circulé a son sujet sur ses exploits pendant la dictature. Une tueuse hors pair. Pourtant elle nous avais prouvé de bien des manières qu’elle était pour la diplomatie. Lors qu’elle tuait en mission c’était toujours avec cette tristesse teinté d’un infini respect avec un prédilection pour la diplomatie.
Et finalement cette violence et cette rage, cette cruauté indécelable libérée par l’instinct de survie. J’ai enfin réalisé la force que qon poste nécessitait, ce qu’elle avait du accomplir comme travail sur elle en temps que femme pour se faire respecter par des hommes en temps que femme. Par ce que cette aura de force et de confiance n’était sans doutes pas aussi puissante de naissance. Elle avait dus travailler cette capacité qu’elle avait à captiver le publique pour la transformer en la capacité de se faire obéir.
C’est ainsi qu’est Takenaka Shisui à mi-chemin entre la douceur, la bonté et la sauvagerie la plus crue qu’il soit. Avec sa part d'ombre et de lumière, ses réputation dues et sa franchise emplie de miel.
Vue par Mei Terumi Si les chiens de font pas des chats, il est clair que dieu n'as pas créer Shisui dans le même tas de boue que le reste de l'humanité. On ne sais jamais si elle est véritablement gentille à l'origine ou bien si c'est une excellente maîtrise d'elle même qui lui à permis d'en arriver à pareil niveau. Personnellement je pense qu'elle peut être aussi violente et cruelle qu'elle est en réalité douce et posée. Je peu avancer un tas de théorie puisqu'elle et moi avons grandis ensemble. Pas toujours dans une franche camaraderie, mais jamais dans l'adversité.
Non elle n'est pas faite de glaise. Elle est tout aussi malléable mais tellement plus solide que ses statuettes. Shisui est le genre de femme dont l'apparence ne laisse absolument pas deviner les ressources. Shisui à une mentalité faite de diamant. Elle est bien plus solide que la plus part des gens. Je ne parle pas seulement de son incroyable capacité de résistance à la douleur mais de sa compétence inouïe à affronter l'imprévisible. Même la surprise n'as pas sur elle une influence néfaste. Elle observe, elle analyse, elle gère. Shisui est ce genre de personne à l'ouverture d'esprit spectaculaire , doté d'une certaine dose de sagesse. Elle fait fonctionner à merveilles le système des services spéciaux, elle entraîne ses homme les protège, les corrige...elle les érige à la perfection. Par ce qu'elle est ainsi perfectionniste. Et ça, ça la tuera sans doutes un jours. Elle à cet air fatigué sur le visage mais toujours ce sourire, radieux amusé, cette flamme au fond des yeux, le regard de celle qui à échappé au pire. Celle qui n'as plus peur de rien. Elle n'as pas peur de mourir et à du mal à accepter le fait qu'elle ne peu pas venir en aide à tout le monde.
Parfois, stricte et dure. Bourreau de travail. Violente et passionnée. Combattante hors normes, tueuse d'élite, Ninja de renom. Alliée de taille et adversaire peu recommandable. Une femme intelligente, maligne lorsqu'il le faut et particulièrement douée pour la manipulation. C'est une excellente oratrice capable de tourner une foule à son avantage. Sans doutes loyale, autoritaire, attentive avec une soif d'apprendre incroyable et un sang froid appréciable. Avec un dont pour la diplomatie...et une douleur bien enfouie. La douleur de la femme qui ne se pardonne pas les crimes qu'elle à pus commettre sous la dictature. [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
Dernière édition par Takenaka Shisui le Ven 31 Aoû - 17:42, édité 9 fois | |
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Hiruma Yôichi Déserteur de rang A
Messages : 28 Date d'inscription : 18/08/2012
Fiche Ninja Jutsus: Expérience: (0/0)
| Sujet: Re: Et même la pluie ||100 %|| Ven 31 Aoû - 17:25 | |
| Alors pour ton avis que tu m'as demandé, les longueurs sont bonnes, tout ça respecte bien le style du personnage et tout... Mais il y a des fautes qui peuvent être facilement évités, tout comme dans les infos en vrac.
Exemple : "médicnin" pour dire "médecin".
Donc pour moi, tu as le niveau pour Cheftaine de la section des ANBUS.
Reste un second avis! | |
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Uchiha Itachi Chef de l'Akatsuki/ Fonda/ Maître des Illusions
Messages : 104 Date d'inscription : 30/12/2011
Fiche Ninja Jutsus: Expérience: (0/900)
| Sujet: Re: Et même la pluie ||100 %|| Ven 31 Aoû - 19:21 | |
| Alors c'est une belle prez' que nous avons là, avec quelques fautes par-ci par-là mais rien de très grave. Alors passons dans le vive du sujet bon tu mérite ton grade de l'ANBU largement et comme l'a dis Hiruma heu Suigetsu Capitaine des forces spéciale, d'ailleurs Cheftaine ça existe pas, c'est plus jolie Capitaine. | |
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