Cinq queues valent mieux qu'une !

Anbu d'Iwa/ Hôtes de Gobi Messages : 2 Date d'inscription : 22/08/2012

Le nom de votre Ninja

Age : 27
Village d'origine : Ishiogakure > Iwagakure
Famille : Quelques parents à Ishiogakure
Grade : Pilier
Affinité : Euh, les 5 ? Via le Gobi bien entendu.
Passions : /
Nindô : [NINDO]

Histoire

Il y a près de trente ans de cela, un évènement hors du commun et pourtant attendu avait bouleversé la paisible vie du pays des pierres. Ce petit pays, au sud du tristement célèbre pays de la terre était en ébullition à l'approche de cet évènement. C'était enfin le moment tant attendu. Le Dieu du village, si l'on peut le nommer ainsi, était enfin réapparu. Cette "divinité" peu ordinaire est bien plus connue dans le reste du monde sous le nom de Gobi et représente l'une des neufs part du légendaire Juubi. Mais ici, il n'en était rien, et le Gobi était vénéré comme une divinité bienveillante depuis la nuit des temps. Des mythes racontent ici et là que la raison de cette isolation serait un combat remporté contre Ichibi il y a de cela des centaines de lune, mais à vrai dire, le culte qui lui est voué était alors plus perpétré par tradition que par réel engouement suite à un quelconque évènement. Mais revenons à cet évènement si particulier. A sa dernière apparition, il avait été scellé par les villageois dans un nouveau-né répondant au doux nom de Jian, qui s'était ensuite, comme le veut la tradition, battu sous la bannière d'Iwagakure. Cependant, rien ne s'était passé comme prévu, et ledit Jian fut vaincu bien trop rapidement, forçant le Gobi a patienté une nouvelle fois avant de finalement pouvoir se réincarner. Bah, un petit contretemps, ces bêtes-là sont après tout immortelles et finissent toujours par se réincarner. Et cela s'était finalement produit. Donc, comme le voulait la tradition, un nouveau Jinchuriki allait avoir l'immense honneur de porter la "fierté" de ce petit pays. Règle équitable, ce porteur ne serait nul autre que le premier bébé né après son apparition. N'allez pas croire qu'il s'agit là d'une bienveillance envers les jeunes, non, mais on s'imagine qu'il serait bien plus facile de former et de contrôler un enfant qu'un Jinchuriki adulte qui pourrait bien se laisser submerger par le pouvoir de la bestiole. Ou pire, le retourner contre ceux qu'il est supposé servir. Et devinez qui fut le premier bébé ? Et oui, notre ami Hikaku. Je ne suis pas sadique au point de vous raconter toute cette histoire et ces légendes sans aucun but.

Je vous épargnerais en revanche les détails du "rite ancien" qui aboutirent au sceau sur le ventre d'Hikaku, car ce rituel est bien plus proche d'un combat massif contre la bestiole qui, bien que plus amicale que ses comparses Bijuus, ne semble pas avoir réellement envie de se retrouver encore une fois scellée dans le ventre d'un bébé avec pour seul prétexte qu'il est le "Dieu" du village. En effet, des prêtres comme ceux-là ressemblent bien plus à des parjures, vous ne pensez pas ? Mais revenons au rituel, que nous n'appellerons pas "combat" car ce mot retire une grande partie de son mysticisme à l'évènement. Et c'est ainsi que son histoire débuta. Si jeune et déjà promis à un destin très spécial, le village étant très fier de ses Jinchurikis. Il faut dire qu'en dehors des apparitions de la bête à cinq queues, rien ne se passe réellement dans ce petit coin de montagne.

En ce qui concerne les quelques années du début d'enfance de notre héros, je n'ai malheureusement pas grand-chose à vous raconter, de par le caractère heureux de cette enfance. En tant que "trésor" du village, parfois qualifié durant les cérémonies officielles de "Prophète du Gobi", il vécu dans le luxe et le calme tandis que son moindre désir était satisfait par une horde de serviteur qui étaient tous plus honorés les uns que les autres d'avoir l'honneur de servir le jeune garçon. Mais, comme initialement prévu, tout allait changer dès sa cinquième année. Car Ishiogakure était un petit village dans un petit pays, et celui-ci ne possédait pas de Shinobi a proprement parlé. La tradition veut en effet que le jeune porteur du Bijuu soit envoyé, avec à ses côtés une délégation considérable, au village d'Iwa, pour devenir membre de l'élite de l'une des cinq grandes puissances. En vertu du protocole, on organisa donc un rapide regroupement de ceux qui se sont autoproclamés "sages du villages" et la décision fut prise d'honoré une fois de plus la tradition, et ce malgré le destin tragique du dernier Jinchuriki, il y a de cela près de cinquante années.

Et effectivement. Le jeune homme, accompagnée d'une quinzaine d'habitants d'Ishiogakure, se rendit rapidement à Iwa. Le voyage dura près de deux semaines, bien que le trajet aurait été fait en moins de quatre jours par les plus aguerris des villageois. Une fois arrivée à Iwa, Ils furent accueilli par une certaine méfiance, le village de la pierre n'étant pas connu pour sa tendresse légendaire envers les hôtes des bêtes à queues, c'est tout le contraire, en fait. Mais il s'agit également d'un village qui ne rechigne devant aucun moyen d'accroître sa puissance, et c'est pour cette raison qu'Hikaku, comme ses prédécesseurs, fut rapidement accepté par le Sandaime Tsuchikage. Quelques semaines plus tard, le jeune homme était inscrit à l'académie, et il était désormais temps pour lui de commencer sa "nouvelle" vie. Et contrairement au célèbre rouquin de Konoha, l'immigrant d'Iwa se débrouillait très bien et apprenait très vite. Cela était sans doute facilité par la relation qu'il commençait à entretenir avec son invité, le Gobi étant bien plus docile que son grand frère à neuf queues et semblait disposé à entretenir une relation "professionnelle", si je puis dire, avec son Jinchuriki. Il faut dire que le Gobi commence sans doutes à s'accoutumer aux shinobis d'Ishiogakure, et surtout, à comprendre que ses hôtes successifs ont été rejetés par sa faute. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je préfère encore l'attitude sans pitié du Kyuubi.

Deux ans. C'est la durée de son apprentissage à l'académie. Pour être plus précis, il s'agit en réalité d'un cursus réalisé sur une année et huit mois, de part son arrivée en cours d'année. Mais qui s'intéresse réellement à de tels détails ? Le jeune homme quitta donc fièrement l'académie peu après son septième anniversaire, "diplôme" à la main, et devient naturellement Genin. Sans traitement de faveur d'aucune sorte, il fut assigné avec deux de ses camarades à un Juunin quelconque et réalisa avec passion les basses besognes que l'on assigne le plus souvent à ces équipes débutantes. A moins que l'on considère que battre un quelconque animal et passer le balai soit d'un attrait exceptionnel, cette période de sa vie n'est décidément pas intéressante. Hikaku s'ennuyait donc durant ces missions de bas étage. Peu à peu, les missions de rang Z laissaient progressivement place à quelques évènements un peu plus intéressant lorsque l'on jugea enfin son groupe digne d'accomplir des missions d'un genre un plus corsé. Une nouvelle routine s'installa toujours rapidement, mais cette période Genin permit à notre ami de se rendre compte d'une chose : alors que ses camarades maîtrisaient une ou deux affinités, il était peu à peu capable de les utiliser toutes, et ce de façon interchangeable. En fait, l'utilité de cette période réside dans les liens qu'il a pu commencer à établir avec le Gobi.

Hikaku devint finalement Chuunin à onze ans, lorsque l'examen fut organisé à Iwagakure et de façon interne, du fait des tensions entre les villages. Bien que le jeune Jinchuriki soit plutôt bien préservé par sa délégation de serviteur, il semblait inévitable qu'il prenne part à la guerre opposant le pays de la terre au pays du feu. Mais peu importante, il était on ne peut plus fier de ses nouvelles "fonctions". Du fait de sa promotion et des troubles important impactant directement le village d'Iwa, le Tsuchikage prit soin de lui rappeler l'importance de la maîtrise de son Bijuu. Pour ce faire, il lui "assigna" pendant quelques temps le Jinchuriki du Yonbi, plus âgé, afin de lui permettre de progresser. La tâche n'était pas chose aisée, mais elle était sans aucun doute facilitée par le caractère amical, bien que fier, du Gobi, qui était à des années lumières de la haine de son homologue renard.
La routine s'installa donc une nouvelle fois. Hikaku continuait à accomplir des missions pour son village d'adoption tout en ayant de moins en moins de contacts avec son village d'origine, qui le trouvait décidément trop attaché à Iwa. En parallèle, il s'entraînait de façon longue et fastidieuse afin de mieux maîtriser le potentiel scellé en lui.

Trois ans plus tard, notre ami était promu Juunin. Non pas pour le récompenser, mais bien par nécessité. La guerre faisait désormais rage et le village avait besoin de figures importantes sur le champ de bataille. Un Jinchuriki, même s'il ne maîtrise pas totalement ses pouvoirs, reste une force d'intimidation importante. Le village s'était donc décidé à promouvoir quelques élus au rang de Juunin, afin de donner un sentiment de puissance au pays de la roche. Pour les évènements marquant, on repassera, car Hikaku ne participa qu'à quelques affrontements mineur avant qu'un armistice ne soit signé entre les Daimyos.

Retour à la case départ et à la traditionnelle routine des missions. Cependant, lors de sa dix-huitième année, Hikaku décida qu'il était temps pour lui de maîtriser totalement son bijuu. Il fut ainsi escorté dans les montagnes par son "maître", dans ce qui semblait être une espèce d'île de la tortue façon Iwa. Il y a passa quinze mois avant de se sentir preuve à passer l'épreuve

Ces quinze mois furent des mois d'entraînements intenses, afin d'être finalement prêt. La montagne sur laquelle ils se trouvaient, tous les deux, semblaient être totalement inhabité, et la maison la plus proche devait se situer à une petite dizaine de kilomètres. Au beau milieu de cette montagne et au détour d'un sentier, une grotte un peu particulière. Particulière, car celle-ci était protégée par une porte scellée. La plupart du temps passé dans cette montagne fut lié à ce sceau. Entraînement après entraînement, jours après jours, le sceau ne pouvait être rompu qu'à l'aide du chakra d'un Bijuu. Il fallait donc obtenir au moins un accord partiel du Gobi, sans cela, rien ne pouvait se produire. Discussions, méditations, affrontements psychologiques, tout y passa. Une queue pouvait déjà se matérialiser à l'arrivée sur le mont, et maintenant deux, puis trois. Enfin, un manteau de chakra entourait notre ami qui pouvait désormais rompre le sceau, ce qu'il fit on ne peut plus rapidement, après avoir reçu l'approbation de son mentor, qui ne pouvait désormais plus rien pour lui.

Le voilà alors dans la caverne, face à face avec le Gobi. Je ne saurais vous raconter les détails de la rencontre entre les deux, cela étant un secret devant resté entre une bête et son hôte. Cependant, je peux vous assurer que les émanations de chakra furent ressenties par l'homme qui vivait à une dizaine de kilomètres. En fait non, car il n'était pas capable de le sentir, mais vous comprenez l'idée. Et puis le voilà, hors de la grotte, arborant fièrement une synchronisation supposément parfaite avec le Gobi.

Il venait donc d'avoir dix neuf ans lorsqu'il quitta l'île, et lorsqu'il acheva finalement son entraînement de Jinchurik. Enfin, il était devenu adulte, en quelques sortes. Il revint donc tout logiquement au village, prêt à le servir du mieux de ses capacités. Quelques semaines passèrent, puis quelques mois, et l'utilisateur des cinq éléments devenait peu à peu reconnu parmi les habitants du village. Tout s'enchaînait de façon parfaite pour le jeune homme, qui bien que stigmatisé de part son rôle d'hôte et de la tradition d'Iwa, accumulait de nombreux faits d'armes. A l'instar des Sannin d'autrefois ou bien encore d'Hatake Kakashi, un surnom suivait peu à peu le jeune homme : Yoso no Hikaku, Hikaku des éléments. Et tout cela, grâce à Gobi. Car il faut admettre que sans cette bestiole désormais amicale, il ne serait qu'un Juunin doué en ninjutsu parmi tant d'autres. Mais la présence de cet invité lui permettait d'exacerbé cela suffisamment pour se hisser parmi l'élite du village.

Récompense ultime, il fut intégré au groupe très fermé des quatre piliers d'Iwa, il y a de cela trois ans. C'est à dire, deux ans avant que l'Akatsuki ne commence à faire parler d'elle. Parlons-en, de cette Akatsuki, source de discorde au sein du village de la roche. En effet, celle-ci étant désormais reconnue comme organisation criminelle, le fait que le Tsuchikage l'ait employé pose d'énormes problèmes à certains, et notamment à notre ami qui, en tant que Jinchuriki, se sent on ne peut plus visé par la lune rouge. Ces deux dernières années ont ainsi été marquées par une période de troubles au sein des leaders du villages, certains membres du villages souhaitant en effet profiter des troubles actuels afin de décrédibiliser d'autant plus le leader du village afin d'éventuellement le remplacer.

Et puis, il y a maintenant. Toujours des critiques, toujours l'Akatsuki, toujours des tensions entre les villages et toujours des troubles à Iwa. Mais seul le futur nous dira comment tout cela se termine.

Apparence

Je suis, je dois l'admettre, très mauvais en description, mais bon, essayons tout de même de présenter un profil convenable.

Tout d'abord, notre ami est de taille moyenne, mesurant un peu plus de 175 centimètres, afin de compléter cette mesure, nous dirons qu'il pèse dans la cinquantaine ou la soixantaine de kilogrammes, cette mesure étant peu courante dans notre univers shinobi. Ce qui marque tout de suite lorsque l'on aperçoit cet homme, c'est justement cette petite silhouette. Malgré son statut de Jinchuriki, il est loin d'être imposant et ne présente pas réellement les caractéristiques que l'on pourrait s'attendre à rencontrer chez une cible de l'akatsuki.

Il porte des cheveux d'une couleur violacée assez rare par les temps qui courent. Ces cheveux, mi-long, lui tombent par endroit jusqu'au cou et entourent ses oreilles. Il complète ces cheveux par un visage peu expressif et, il faut bien l'admettre, très ordinaire. Deux yeux, bleu s'il faut le signaler, un nez un peu plus bas, pour finalement finir par une bouche et un menton. Des traits fins occupent le vide entre ces organes. Il complète le tout par un bandeau orné du sigle d'Iwa qu'il porte logiquement sur son front. Son amour pour le village oblige, si vous le voyez sans ce bandeau, il n'existe que deux options : un drame vient de se produire, ou bien il ne s'agit pas de lui mais d'une imitation.

Pour ce qui est de son accoutrement, on le trouvera souvent vêtu d'un long et ample manteau d'une couleur grisâtre tirant parfois vers le blanc. Ajoutez à cela quelques coutures jaunes, des manches d'une longueur parfois exagérée et quelques poches extérieures et intérieures puis enfin un col haut, et vous obtiendrez un manteau prêt à être utilisé. Ce manteau n'est malheureusement pas pratique lors des affrontements intensifs, et il est ainsi facile de comprendre comment le tailleur d'Iwa arrondit ses fins de mois : beaucoup de manteaux à retravailler, encore et encore.

Les vêtements du jeune homme ne se limitent heureusement pas à ce manteau. Il porte en dessous de ce manteau un attirail très commun parmi les habitants d'Iwagakure, à l'instar par exemple d'Akatsuchi. Il porte en effet ce juste au corps rouge foncé recouvrant la quasi-totalité de son corps, ainsi qu'une petite veste marron dont il se débarrasse parfois. A cela vient s'ajouter des bottines grises, une ceinture et de nombreuses poches regorgeant d'accessoires et d'armes en tout genre : il reste un ninja.

On peut également remarquer l'air décontracté qu'il affichera bien souvent. Cela est bien plus proche du tic nerveux que de la réelle décontraction. En effet, vous ne le trouverez que très rarement arborant un visage défaitiste ou anxieux, quels que soient ses sentiments. Pour une raison inconnue, sans doute simplement génétique, il semble que son visage soit le plus souvent restreint à trois émotions : la neutralité, la joie, et le sérieux. Mais étant donné le monde dans lequel nous nous trouvons, il est bien possible qu'une future rencontre soit capable de changer cela...

Caractère

Attelons-nous maintenant à la psychologie du gaillard, même si je suis partisan d'en dire le minimum pour garder la surprise et une certaine liberté.

Commençons donc par la classique description générale. Il s'agit avant tout de quelqu'un de réservé, bien qu'il possède le plus souvent une opinion sur tout et n'importe quoi. De la même manière, quelque peu paradoxale je vous l'accorde, il est très attaché à son village, mais se retrouvera le plus souvent en désaccord avec les décisions du Raikage, bien qu'il soit probable que le pouvoir ait changé de main en son absence. Il n'est pas particulièrement attaché à la nature bien qu'il sache apprécier certains paysages.

Dans un autre paradoxe, notre ami apprécie fortement le calme et la tranquillité, tout en n'évitant aucunement le contact humain. Sur ce domaine, son attitude est extrêmement complexe. Il peut parfois se montrer chaleureux, mais se montrera le plus souvent froid et méfiant des inconnus, cherchant tout d'abord à les identifier formellement et à évaluer le risque que pose son interlocuteur. Cette méfiance vient probablement plus d'une curiosité de naissance que d'un quelconque évènement marquant. Il n'en reste pas moins un beau parleur, ce qui lui permet le plus souvent de se faire accepter.

Il adopte également parfois un comportement rieur, voir moqueur, qui reflète sa philosophie sur les choses. Cette philosophie consiste, grosso-modo, en une habitude à se résigner devant le fait accompli, comprenant qu'il est le plus souvent impossible de changer le cours des évènements et que se concentrer sur la suite est bien plus importante. C'est avec cet esprit qu'il aborde la "Crise Iwa", tentant de créer un futur où le Tsuchikage n'est plus libre de faire appel à l'Akatsuki, mais soutenant tout de même le village de toutes ses forces.

En situation de combat, il se montre particulièrement protecteur envers ceux qu'il sait plus faible que lui, et se retiendra bien souvent contre ce type d'opposant. Du fait de sa méfiance, il aura le plus souvent tendance à tenter d'analyser certaines actions de son adversaire plutôt que de foncer tête baissée, afin d'éviter les risques inutiles. Il lui arrivera aussi parfois de tenter d’impressionner l'adversaire, voir de l'étourdir si celui-ci se montre trop insistant. Son principal défaut réside très probablement dans sa confiance en soi, qui peut parfois être perçue comme de l'arrogance ou de la vantardise. On peut également considérer sa curiosité comme un défaut, même s'il me semble qu'il s'agisse d'une qualité.

Les relations sociales de notre ami sont elles aussi ambiguë. Après-tout, chaque être humain possède une certaine part d'étrangeté et d'illogisme, deux caractéristiques qui correspondent si bien à notre espèce. Afin de recentrer par la suite ce paragraphe sur les relations strictement humaines, parlons tout d'abord de sa relation avec le Gobi. En un mot, celle-ci est bonne. Si l'on s'attarde plus longuement, il est très important de préciser qu'Hikaku a été très chanceux, le cheval à cinq queues étant en effet l'un des bijuus les plus cordial qu'il est possible de rencontrer. En toute logique et à force de se côtoyer, car il faut se rappeler qu'ils sont dans l'impossibilité technique de s'éviter, les deux ont tissés des liens affectifs relativement fort. Il faut bien ça lorsque votre survie dépend de cette relation symbiotique, et il est donc logique qu'un Bijuu déjà sociable de base n'ai eu aucun mal à accepter de coopérer pour le bien de sa propre vie.

Quant à son contact avec ses contemporains, rien de bien intéressant. Il possède toujours quelques liens "de facto" avec la délégation qui l'a autrefois accompagnée, et qui est aujourd'hui de retour à Ishiogakure, mais il est évident que les gens du village le considèrent bien plus comme un traire ayant choisi de se rallier entièrement à Iwa plutôt qu'à un enfant du pays. Les gens d'Iwa, justement, le considèrent tout simplement comme un bon shinobi du village. Ni plus, ni moins. Enfin pas tout à fait. Il est évident que la stigmatisation autour de son Bijuu lui donne une certaine aura effrayante, qui donne parfois lieu à des situations cocasses lors de quelques discussions avec les éléments les plus superstitieux du village.
Votre caractère en un minimum de 15 lignes.

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

(Un peu déçu de la prez, trop court :<. Et il doit y avoir des fautes, je dois y aller là desuite, j'édit plus tard ^-^)

Alors alors... Je vais commencer à te mariner à ma sauce, mon Fuckin'Membre Twisted Evil

[Fais pas attention] Donc! Commençons par les descriptions!

Un peu faiblard tout ça ^^ Tu décris bien la psychologie de ton personnage, mais je pense que tu pourrais en dire plus, comme inclure la relation qu'il entretient avec Gobi ou si ils garde des contacts avec ses anciens camarades...

Ensuite, pour la physique, je suis d'accord, c'est franchement pas passionnant. Donc je suis un peu plus coulant là dessus mais bon ^^

En gros, tes descriptions sont assez courte, mais on voit la qualité du style d'écriture à mon goût. Après, si tu pouvais un peu étoffer et surtout enlever les fautes, ce serait bien ^^

Pour finir, l'histoire! Alors... Quelques fautes qui seraient heureuses si elles étaient supprimées... Pour ma part, j'aime bien la manière dont tu as présenté la "fête", même si pour la migration à Iwa, c'est un peu copié dans l'histoire de Kushina, ça me va, car tu as une raison d'avoir eu ce Bijûu, toi et pas un autre ^^

Ensuite, le reste de l'histoire, j'aime bien, la qualité y est... Mais j'aimerais bien que tu détailles, comme deux-trois paragraphes, ou juste un si la qualité est là, ton entraînement pour maîtriser totalement Gobi ^^.

Pour termine, si la présentation reste ainsi, je t'accorderai le grade de Junin ou Anbu/Oi-Nin, mais si tu fais ce que je t'ai demandé, je pense qu'on pourra réfléchir au rang de Sanin.

Après ça, il te faudra également un dernier avis et ce sera bon!!

Bonne chance!

Anbu d'Iwa/ Hôtes de Gobi Messages : 2 Date d'inscription : 22/08/2012

Merci pour la réponse rapide :=)

J'ai réalisé quelques modifs mais je ne peux pas edit le premier post, du coup voilà en balise code puisque l'html ne passe pas non plus dans une réponse. J'ai corrigé les grosses fautes flagrantes mais je pense qu'il en reste, j'suis crevé è_è. Pour le rang, ANBU (ou Juunin), ça ne me dérangerait pas tant que ça hein ^-^. En gros, j'ai rajouté 1,5 paragraphes sur le Gobi (je n'aime pas trop rentrer dans les détails dans une bio), pareil sur la description psycho, pas touché au physique pour le moment.

Code:: 
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Le nom de votre Ninja



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Age : 27
Village d'origine : Ishiogakure > Iwagakure
Famille : Quelques parents à Ishiogakure
Grade : Pilier
Affinité : Euh, les 5 ? Via le Gobi bien entendu.
Passions : /
Nindô : [NINDO]


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Histoire


Il y a près de trente ans de cela, un évènement hors du commun et pourtant attendu avait bouleversé la paisible vie du pays des pierres. Ce petit pays, au sud du tristement célèbre pays de la terre était en ébullition à l'approche de cet évènement. C'était enfin le moment tant attendu. Le Dieu du village, si l'on peut le nommer ainsi, était enfin réapparu. Cette "divinité" peu ordinaire est bien plus connue dans le reste du monde sous le nom de Gobi et représente l'une des neufs part du légendaire Juubi. Mais ici, il n'en était rien, et le Gobi était vénéré comme une divinité bienveillante depuis la nuit des temps. Des mythes racontent ici et là que la raison de cette isolation serait un combat remporté contre Ichibi il y a de cela des centaines de lune, mais à vrai dire, le culte qui lui est voué était alors plus perpétré par tradition que par réel engouement suite à un quelconque évènement. Mais revenons à cet évènement si particulier. A sa dernière apparition, il avait été scellé par les villageois dans un nouveau-né répondant au doux nom de Jian, qui s'était ensuite, comme le veut la tradition, battu sous la bannière d'Iwagakure. Cependant, rien ne s'était passé comme prévu, et ledit Jian fut vaincu bien trop rapidement, forçant le Gobi a patienté une nouvelle fois avant de finalement pouvoir se réincarner. Bah, un petit contretemps, ces bêtes-là sont après tout immortelles et finissent toujours par se réincarner. Et cela s'était finalement produit. Donc, comme le voulait la tradition, un nouveau Jinchuriki allait avoir l'immense honneur de porter la "fierté" de ce petit pays. Règle équitable, ce porteur ne serait nul autre que le premier bébé né après son apparition. N'allez pas croire qu'il s'agit là d'une bienveillance envers les jeunes, non, mais on s'imagine qu'il serait bien plus facile de former et de contrôler un enfant qu'un Jinchuriki adulte qui pourrait bien se laisser submerger par le pouvoir de la bestiole. Ou pire, le retourner contre ceux qu'il est supposé servir. Et devinez qui fut le premier bébé ? Et oui, notre ami Hikaku. Je ne suis pas sadique au point de vous raconter toute cette histoire et ces légendes sans aucun but.

Je vous épargnerais en revanche les détails du "rite ancien" qui aboutirent au sceau sur le ventre d'Hikaku, car ce rituel est bien plus proche d'un combat massif contre la bestiole qui, bien que plus amicale que ses comparses Bijuus, ne semble pas avoir réellement envie de se retrouver encore une fois scellée dans le ventre d'un bébé avec pour seul prétexte qu'il est le "Dieu" du village. En effet, des prêtres comme ceux-là ressemblent bien plus à des parjures, vous ne pensez pas ? Mais revenons au rituel, que nous n'appellerons pas "combat" car ce mot retire une grande partie de son mysticisme à l'évènement. Et c'est ainsi que son histoire débuta. Si jeune et déjà promis à un destin très spécial, le village étant très fier de ses Jinchurikis. Il faut dire qu'en dehors des apparitions de la bête à cinq queues, rien ne se passe réellement dans ce petit coin de montagne.

En ce qui concerne les quelques années du début d'enfance de notre héros, je n'ai malheureusement pas grand-chose à vous raconter, de par le caractère heureux de cette enfance. En tant que "trésor" du village, parfois qualifié durant les cérémonies officielles de "Prophète du Gobi", il vécu dans le luxe et le calme tandis que son moindre désir était satisfait par une horde de serviteur qui étaient tous plus honorés les uns que les autres d'avoir l'honneur de servir le jeune garçon. Mais, comme initialement prévu, tout allait changer dès sa cinquième année. Car Ishiogakure était un petit village dans un petit pays, et celui-ci ne possédait pas de Shinobi a proprement parlé. La tradition veut en effet que le jeune porteur du Bijuu soit envoyé, avec à ses côtés une délégation considérable, au village d'Iwa, pour devenir membre de l'élite de l'une des cinq grandes puissances. En vertu du protocole, on organisa donc un rapide regroupement de ceux qui se sont autoproclamés "sages du villages" et la décision fut prise d'honoré une fois de plus la tradition, et ce malgré le destin tragique du dernier Jinchuriki, il y a de cela près de cinquante années.

Et effectivement. Le jeune homme, accompagnée d'une quinzaine d'habitants d'Ishiogakure, se rendit rapidement à Iwa. Le voyage dura près de deux semaines, bien que le trajet aurait été fait en moins de quatre jours par les plus aguerris des villageois. Une fois arrivée à Iwa, Ils furent accueilli par une certaine méfiance, le village de la pierre n'étant pas connu pour sa tendresse légendaire envers les hôtes des bêtes à queues, c'est tout le contraire, en fait. Mais il s'agit également d'un village qui ne rechigne devant aucun moyen d'accroître sa puissance, et c'est pour cette raison qu'Hikaku, comme ses prédécesseurs, fut rapidement accepté par le Sandaime Tsuchikage. Quelques semaines plus tard, le jeune homme était inscrit à l'académie, et il était désormais temps pour lui de commencer sa "nouvelle" vie. Et contrairement au célèbre rouquin de Konoha, l'immigrant d'Iwa se débrouillait très bien et apprenait très vite. Cela était sans doute facilité par la relation qu'il commençait à entretenir avec son invité, le Gobi étant bien plus docile que son grand frère à neuf queues et semblait disposé à entretenir une relation "professionnelle", si je puis dire, avec son Jinchuriki. Il faut dire que le Gobi commence sans doutes à s'accoutumer aux shinobis d'Ishiogakure, et surtout, à comprendre que ses hôtes successifs ont été rejetés par sa faute. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je préfère encore l'attitude sans pitié du Kyuubi.

Deux ans. C'est la durée de son apprentissage à l'académie. Pour être plus précis, il s'agit en réalité d'un cursus réalisé sur une année et huit mois, de part son arrivée en cours d'année. Mais qui s'intéresse réellement à de tels détails ? Le jeune homme quitta donc fièrement l'académie peu après son septième anniversaire, "diplôme" à la main, et devient naturellement Genin. Sans traitement de faveur d'aucune sorte, il fut assigné avec deux de ses camarades à un Juunin quelconque et réalisa avec passion les basses besognes que l'on assigne le plus souvent à ces équipes débutantes. A moins que l'on considère que battre un quelconque animal et passer le balai soit d'un attrait exceptionnel, cette période de sa vie n'est décidément pas intéressante. Hikaku s'ennuyait donc durant ces missions de bas étage. Peu à peu, les missions de rang Z laissaient progressivement place à quelques évènements un peu plus intéressant lorsque l'on jugea enfin son groupe digne d'accomplir des missions d'un genre un plus corsé. Une nouvelle routine s'installa toujours rapidement, mais cette période Genin permit à notre ami de se rendre compte d'une chose : alors que ses camarades maîtrisaient une ou deux affinités, il était peu à peu capable de les utiliser toutes, et ce de façon interchangeable. En fait, l'utilité de cette période réside dans les liens qu'il a pu commencer à établir avec le Gobi.

Hikaku devint finalement Chuunin à onze ans, lorsque l'examen fut organisé à Iwagakure et de façon interne, du fait des tensions entre les villages. Bien que le jeune Jinchuriki soit plutôt bien préservé par sa délégation de serviteur, il semblait inévitable qu'il prenne part à la guerre opposant le pays de la terre au pays du feu. Mais peu importante, il était on ne peut plus fier de ses nouvelles "fonctions". Du fait de sa promotion et des troubles important impactant directement le village d'Iwa, le Tsuchikage prit soin de lui rappeler l'importance de la maîtrise de son Bijuu. Pour ce faire, il lui "assigna" pendant quelques temps le Jinchuriki du Yonbi, plus âgé, afin de lui permettre de progresser. La tâche n'était pas chose aisée, mais elle était sans aucun doute facilitée par le caractère amical, bien que fier, du Gobi, qui était à des années lumières de la haine de son homologue renard.
La routine s'installa donc une nouvelle fois. Hikaku continuait à accomplir des missions pour son village d'adoption tout en ayant de moins en moins de contacts avec son village d'origine, qui le trouvait décidément trop attaché à Iwa. En parallèle, il s'entraînait de façon longue et fastidieuse afin de mieux maîtriser le potentiel scellé en lui.

Trois ans plus tard, notre ami était promu Juunin. Non pas pour le récompenser, mais bien par nécessité. La guerre faisait désormais rage et le village avait besoin de figures importantes sur le champ de bataille. Un Jinchuriki, même s'il ne maîtrise pas totalement ses pouvoirs, reste une force d'intimidation importante. Le village s'était donc décidé à promouvoir quelques élus au rang de Juunin, afin de donner un sentiment de puissance au pays de la roche. Pour les évènements marquant, on repassera, car Hikaku ne participa qu'à quelques affrontements mineur avant qu'un armistice ne soit signé entre les Daimyos.

Retour à la case départ et à la traditionnelle routine des missions. Cependant, lors de sa dix-huitième année, Hikaku décida qu'il était temps pour lui de maîtriser totalement son bijuu. Il fut ainsi escorté dans les montagnes par son "maître", dans ce qui semblait être une espèce d'île de la tortue façon Iwa. Il y a passa quinze mois avant de se sentir preuve à passer l'épreuve

Ces quinze mois furent des mois d'entraînements intenses, afin d'être finalement prêt. La montagne sur laquelle ils se trouvaient, tous les deux, semblaient être totalement inhabité, et la maison la plus proche devait se situer à une petite dizaine de kilomètres. Au beau milieu de cette montagne et au détour d'un sentier, une grotte un peu particulière. Particulière, car celle-ci était protégée par une porte scellée. La plupart du temps passé dans cette montagne fut lié à ce sceau. Entraînement après entraînement, jours après jours, le sceau ne pouvait être rompu qu'à l'aide du chakra d'un Bijuu. Il fallait donc obtenir au moins un accord partiel du Gobi, sans cela, rien ne pouvait se produire. Discussions, méditations, affrontements psychologiques, tout y passa. Une queue pouvait déjà se matérialiser à l'arrivée sur le mont, et maintenant deux, puis trois. Enfin, un manteau de chakra entourait notre ami qui pouvait désormais rompre le sceau, ce qu'il fit on ne peut plus rapidement, après avoir reçu l'approbation de son mentor, qui ne pouvait désormais plus rien pour lui.

Le voilà alors dans la caverne, face à face avec le Gobi. Je ne saurais vous raconter les détails de la rencontre entre les deux, cela étant un secret devant resté entre une bête et son hôte. Cependant, je peux vous assurer que les émanations de chakra furent ressenties par l'homme qui vivait à une dizaine de kilomètres. En fait non, car il n'était pas capable de le sentir, mais vous comprenez l'idée. Et puis le voilà, hors de la grotte, arborant fièrement une synchronisation supposément parfaite avec le Gobi.

Il venait donc d'avoir dix neuf ans lorsqu'il quitta l'île, et lorsqu'il acheva finalement son entraînement de Jinchurik. Enfin, il était devenu adulte, en quelques sortes. Il revint donc tout logiquement au village, prêt à le servir du mieux de ses capacités. Quelques semaines passèrent, puis quelques mois, et l'utilisateur des cinq éléments devenait peu à peu reconnu parmi les habitants du village. Tout s'enchaînait de façon parfaite pour le jeune homme, qui bien que stigmatisé de part son rôle d'hôte et de la tradition d'Iwa, accumulait de nombreux faits d'armes. A l'instar des Sannin d'autrefois ou bien encore d'Hatake Kakashi, un surnom suivait peu à peu le jeune homme : Yoso no Hikaku, Hikaku des éléments. Et tout cela, grâce à Gobi. Car il faut admettre que sans cette bestiole désormais amicale, il ne serait qu'un Juunin doué en ninjutsu parmi tant d'autres. Mais la présence de cet invité lui permettait d'exacerbé cela suffisamment pour se hisser parmi l'élite du village.

Récompense ultime, il fut intégré au groupe très fermé des quatre piliers d'Iwa, il y a de cela trois ans. C'est à dire, deux ans avant que l'Akatsuki ne commence à faire parler d'elle. Parlons-en, de cette Akatsuki, source de discorde au sein du village de la roche. En effet, celle-ci étant désormais reconnue comme organisation criminelle, le fait que le Tsuchikage l'ait employé pose d'énormes problèmes à certains, et notamment à notre ami qui, en tant que Jinchuriki, se sent on ne peut plus visé par la lune rouge. Ces deux dernières années ont ainsi été marquées par une période de troubles au sein des leaders du villages, certains membres du villages souhaitant en effet profiter des troubles actuels afin de décrédibiliser d'autant plus le leader du village afin d'éventuellement le remplacer.

Et puis, il y a maintenant. Toujours des critiques, toujours l'Akatsuki, toujours des tensions entre les villages et toujours des troubles à Iwa. Mais seul le futur nous dira comment tout cela se termine.

Apparence 



Je suis, je dois l'admettre, très mauvais en description, mais bon, essayons tout de même de présenter un profil convenable.

Tout d'abord, notre ami est de taille moyenne, mesurant un peu plus de 175 centimètres, afin de compléter cette mesure, nous dirons qu'il pèse dans la cinquantaine ou la soixantaine de kilogrammes, cette mesure étant peu courante dans notre univers shinobi. Ce qui marque tout de suite lorsque l'on aperçoit cet homme, c'est justement cette petite silhouette. Malgré son statut de Jinchuriki, il est loin d'être imposant et ne présente pas réellement les caractéristiques que l'on pourrait s'attendre à rencontrer chez une cible de l'akatsuki.

Il porte des cheveux d'une couleur violacée assez rare par les temps qui courent. Ces cheveux, mi-long, lui tombent par endroit jusqu'au cou et entourent ses oreilles. Il complète ces cheveux par un visage peu expressif et, il faut bien l'admettre, très ordinaire. Deux yeux, bleu s'il faut le signaler, un nez un peu plus bas, pour finalement finir par une bouche et un menton. Des traits fins occupent le vide entre ces organes. Il complète le tout par un bandeau orné du sigle d'Iwa qu'il porte logiquement sur son front. Son amour pour le village oblige, si vous le voyez sans ce bandeau, il n'existe que deux options : un drame vient de se produire, ou bien il ne s'agit pas de lui mais d'une imitation.

Pour ce qui est de son accoutrement, on le trouvera souvent vêtu d'un long et ample manteau d'une couleur grisâtre tirant parfois vers le blanc. Ajoutez à cela quelques coutures jaunes, des manches d'une longueur parfois exagérée et quelques poches extérieures et intérieures puis enfin un col haut, et vous obtiendrez un manteau prêt à être utilisé. Ce manteau n'est malheureusement pas pratique lors des affrontements intensifs, et il est ainsi facile de comprendre comment le tailleur d'Iwa arrondit ses fins de mois : beaucoup de manteaux à retravailler, encore et encore.

Les vêtements du jeune homme ne se limitent heureusement pas à ce manteau. Il porte en dessous de ce manteau un attirail très commun parmi les habitants d'Iwagakure, à l'instar par exemple d'Akatsuchi. Il porte en effet ce juste au corps rouge foncé recouvrant la quasi-totalité de son corps, ainsi qu'une petite veste marron dont il se débarrasse parfois. A cela vient s'ajouter des bottines grises, une ceinture et de nombreuses poches regorgeant d'accessoires et d'armes en tout genre : il reste un ninja.

On peut également remarquer l'air décontracté qu'il affichera bien souvent. Cela est bien plus proche du tic nerveux que de la réelle décontraction. En effet, vous ne le trouverez que très rarement arborant un visage défaitiste ou anxieux, quels que soient ses sentiments. Pour une raison inconnue, sans doute simplement génétique, il semble que son visage soit le plus souvent restreint à trois émotions : la neutralité, la joie, et le sérieux. Mais étant donné le monde dans lequel nous nous trouvons, il est bien possible qu'une future rencontre soit capable de changer cela...



Caractère

Attelons-nous maintenant à la psychologie du gaillard, même si je suis partisan d'en dire le minimum pour garder la surprise et une certaine liberté.

Commençons donc par la classique description générale. Il s'agit avant tout de quelqu'un de réservé, bien qu'il possède le plus souvent une opinion sur tout et n'importe quoi. De la même manière, quelque peu paradoxale je vous l'accorde, il est très attaché à son village, mais se retrouvera le plus souvent en désaccord avec les décisions du Raikage, bien qu'il soit probable que le pouvoir ait changé de main en son absence. Il n'est pas particulièrement attaché à la nature bien qu'il sache apprécier certains paysages.

Dans un autre paradoxe, notre ami apprécie fortement le calme et la tranquillité, tout en n'évitant aucunement le contact humain. Sur ce domaine, son attitude est extrêmement complexe. Il peut parfois se montrer chaleureux, mais se montrera le plus souvent froid et méfiant des inconnus, cherchant tout d'abord à les identifier formellement et à évaluer le risque que pose son interlocuteur. Cette méfiance vient probablement plus d'une curiosité de naissance que d'un quelconque évènement marquant. Il n'en reste pas moins un beau parleur, ce qui lui permet le plus souvent de se faire accepter.

Il adopte également parfois un comportement rieur, voir moqueur, qui reflète sa philosophie sur les choses. Cette philosophie consiste, grosso-modo, en une habitude à se résigner devant le fait accompli, comprenant qu'il est le plus souvent impossible de changer le cours des évènements et que se concentrer sur la suite est bien plus importante. C'est avec cet esprit qu'il aborde la "Crise Iwa", tentant de créer un futur où le Tsuchikage n'est plus libre de faire appel à l'Akatsuki, mais soutenant tout de même le village de toutes ses forces.

En situation de combat, il se montre particulièrement protecteur envers ceux qu'il sait plus faible que lui, et se retiendra bien souvent contre ce type d'opposant. Du fait de sa méfiance, il aura le plus souvent tendance à tenter d'analyser certaines actions de son adversaire plutôt que de foncer tête baissée, afin d'éviter les risques inutiles. Il lui arrivera aussi parfois de tenter d’impressionner l'adversaire, voir de l'étourdir si celui-ci se montre trop insistant. Son principal défaut réside très probablement dans sa confiance en soi, qui peut parfois être perçue comme de l'arrogance ou de la vantardise. On peut également considérer sa curiosité comme un défaut, même s'il me semble qu'il s'agisse d'une qualité.

Les relations sociales de notre ami sont elles aussi ambiguë. Après-tout, chaque être humain possède une certaine part d'étrangeté et d'illogisme, deux caractéristiques qui correspondent si bien à notre espèce. Afin de recentrer par la suite ce paragraphe sur les relations strictement humaines, parlons tout d'abord de sa relation avec le Gobi. En un mot, celle-ci est bonne. Si l'on s'attarde plus longuement, il est très important de préciser qu'Hikaku a été très chanceux, le cheval à cinq queues étant en effet l'un des bijuus les plus cordial qu'il est possible de rencontrer. En toute logique et à force de se côtoyer, car il faut se rappeler qu'ils sont dans l'impossibilité technique de s'éviter, les deux ont tissés des liens affectifs relativement fort. Il faut bien ça lorsque votre survie dépend de cette relation symbiotique, et il est donc logique qu'un Bijuu déjà sociable de base n'ai eu aucun mal à accepter de coopérer pour le bien de sa propre vie.

Quant à son contact avec ses contemporains, rien de bien intéressant. Il possède toujours quelques liens "de facto" avec la délégation qui l'a autrefois accompagnée, et qui est aujourd'hui de retour à Ishiogakure, mais il est évident que les gens du village le considèrent bien plus comme un traire ayant choisi de se rallier entièrement à Iwa plutôt qu'à un enfant du pays. Les gens d'Iwa, justement, le considèrent tout simplement comme un bon shinobi du village. Ni plus, ni moins. Enfin pas tout à fait. Il est évident que la stigmatisation autour de son Bijuu lui donne une certaine aura effrayante, qui donne parfois lieu à des situations cocasses lors de quelques discussions avec les éléments les plus superstitieux du village.
Votre caractère en un minimum de 15 lignes.

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Bien! Pour moi, c'est bon pour Anbu! Un deuxième avis et c'est bon! Et viens sur la CB surtout parce à deux on s'ennuie ^^'.

Heu Fuckin'Hiruma tu attends un peu, pour ma part je Valide Ninja de l'ANBU d'Iwa.